Jade Franceschino : quand le terroir inspire des desserts d’exception

J’ai ouvert mes messages et là… le choc ! Ce moment où le téléphone devient soudainement le centre de votre univers, vous vous demandez si vous avez bien lu. Jade Franceschino, la cheffe pâtissière de Lalique à Bommes, vit exactement ça en ce moment. Nommée dans la catégorie « Pâtissier de l’année 2026 » par le Gault et Millau, elle est, disons-le, sur un petit nuage, et comment ne pas l’être ? Une vraie consécration, même si elle avoue ne pas s’y attendre du tout, un grand sourire aux lèvres.

Aujourd’hui, Jade, qui n’a pas encore 29 ans, flotte. Elle ne sait pas trop ce qui a plu au jury, ni même quand ils sont passés. On imagine ces inspecteurs, discrets, goûtant par-ci par-là. « Je sais seulement que des inspecteurs viennent manger incognitos », explique-t-elle. « Il y a d’abord une sélection régionale, puis nationale. Généralement, ils viennent à plusieurs reprises. Ils ont dû goûter différents desserts, mais je ne sais pas lesquels. » Visiblement, les créations de Jade Franceschino desserts ont fait leur petit effet.

L’inspiration, un coup de vent du terroir

Ce qui inspire Jade, c’est simple : son environnement. Le paysage girondin, ce terroir qui sent bon la vigne et la brume matinale, tout ça, ça se retrouve dans son assiette. Une balade près du château Lafaurie-Peyraguey peut se transformer en une idée de dessert. L’imagination, une chose essentielle quand on vise l’excellence, semble bien là.

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Souvenirs gourmands et complicité de chef

Les premiers souvenirs de Jade en cuisine, ce sont les odeurs de gâteaux chez sa mère et sa grand-mère. La table, les repas, ça a toujours eu une place particulière dans sa famille. Ça fait presque trois ans qu’elle est au restaurant Lalique, et elle travaille avec le chef Jérôme Schilling depuis une décennie maintenant. « On se comprend », dit-elle simplement. Une belle harmonie, forgée à la Villa René-Lalique en Alsace. Quand le chef est devenu MOF en 2022, elle était dans son équipe rapprochée. « Certes, je n’ai pas le col tricolore, mais je m’inscris dans la victoire », sourit-elle. Le chef, lui, est plein de fierté : « Je suis très fier d’elle, qu’elle fasse partie des grands noms de la pâtisserie française. Quelle chance d’avoir un talent pareil dans mes équipes pour mettre en valeur notre travail autour de la vigne ! » C’est dit.

Des créations qui racontent le Sauternais

Comment ça se passe, concrètement ? Pas de réunions interminables, plutôt des étincelles d’idées, souvent brillantes, qu’elle peaufine ensuite avec Marie Soria, sa complice. « On se balade souvent et, en voyant telle ou telle chose, on se dit : ‘Tiens, pourquoi ne ferait-on pas cela ?’ Le travail d’équipe est très important. Nous réalisons des Jade Franceschino desserts où chacune apporte ses idées. » Une créativité nourrie par ce décor d’exception, au cœur du Sauternais, dont Jade ne cesse de s’inspirer.

  • Oubliez le banal ! La carte du restaurant suffit à comprendre : les créations de Jade vibrent au rythme du terroir local.
  • Imaginez des glaces à la vanille fumée au sarment de vigne, des soufflés où le sauternes se mêle aux agrumes… « Nous nous inspirons aussi beaucoup de l’univers du cristal et de Lalique », ajoute-t-elle. C’est cette combinaison qui fait la magie.

« Pour sucrer nos desserts, on utilise du sauternes. Nous sommes des pâtissiers et cuisiniers des vignes »

Jade Franceschino

Le regard de Gault et Millau

À un mois du grand gala du Gault et Millau, le 17 novembre, Jade avoue ne pas ressentir de pression. Bon, d’accord, elle aimerait bien gagner. « Évidemment que j’aimerais gagner », admet-elle. « Mais je suis déjà très fière de figurer parmi les cinq meilleurs de France. » Ses Jade Franceschino desserts sont la preuve d’un savoir-faire qui commence à être sérieusement reconnu. On parle de maîtrise et de créativité remarquables ici. Si le sujet des distinctions culinaires vous intéresse, sachez que deux destinations européennes se distinguent par leur gastronomie, c’est fascinant à découvrir.

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Des saveurs uniques, une consécration méritée

Cette nomination par le Gault et Millau, c’est la reconnaissance d’un travail acharné et talentueux. Les Jade Franceschino desserts sont une belle illustration de son attachement au terroir, mêlé à une créativité débordante. L’utilisation subtile de produits locaux, le sauternes en tête, leur donne une signature vraiment unique. Ces desserts d’exception ont de quoi séduire les palais les plus fins.

Pour ceux qui aiment explorer les saveurs, même sans alcool, le monde des vins peut réserver des surprises. Vous pourriez par exemple être bluffé par Sigalas-Rabaud et son Sauternes sans alcool, qui fait déjà parler de lui.

Avenir sucré et promesses gourmandes

L’avenir s’annonce plutôt lumineux pour Jade. Cette nomination n’est qu’une étape, et elle ouvre déjà des portes. On peut imaginer qu’elle continuera à explorer les saveurs locales, avec cette touche de modernité qui lui est propre. Son travail pourrait bien inspirer d’autres jeunes talents à valoriser ce que leur région a de meilleur.

D’autres cultures ont aussi des trésors culinaires. La cuisine algérienne, par exemple, est pleine de saveurs authentiques. Le secret des grands chefs pour réussir votre prochain plat algérien vous donnera un aperçu de traditions culinaires riches.

Les Jade Franceschino desserts, c’est l’excellence gastronomique de la Gironde qui s’exprime. L’aventure de Jade Franceschino ne fait que commencer, et le monde de la pâtisserie attend avec impatience la suite de ses créations.

Pour d’autres inspirations, n’hésitez pas à faire un tour sur restaurantlechannel.fr.

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Sophie Aubert
Sophie Aubert

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