Au cœur de la Seine-et-Marne, là où les traditions murmurent à l’oreille des gourmets, une nouvelle étoile s’est levée. Ce n’est pas juste un restaurant, non, c’est un peu une histoire de famille qui s’invite à votre table, un clin d’œil savoureux à un passé qui nourrit le présent. Une adresse qui sent bon le fait maison et les souvenirs, et ça, vous allez voir, ça fait toute la différence.
Un bout de Bretagne s’installe à Lagny
Alexandre Colonel, vous savez, celui qui avait déjà fait ses preuves avec ses pizzas, a eu envie d’un retour aux sources. Pas une vuelta facile, non. Son nouveau projet, il l’a ancré à Lagny-sur-Marne, et il ne s’agit pas de bêtes pizzas cette fois-ci. C’est plus personnel, plus intime. Après avoir écouté ce que les gens voulaient vraiment, une chose est ressortie : une envie folle de crêpes et de galettes. Et hop, l’ancien Oki Poki s’est transformé. C’est le genre de virage qui prouve qu’écouter son public, ça peut mener loin. Et puis, c’est tellement vrai que les gens cherchent aujourd’hui des choses vraies, authentiques, qui ont du goût et une histoire.
Le nom, « La Grève Blanche », c’est pas anodin. Ça vient d’une plage bretonne, un souvenir d’enfance à lui, dans le Finistère. Ça plante le décor, ça rappelle d’où il vient, et ça donne déjà une petite idée de ce qui vous attend. Au menu, donc, les incontournables crêpes et galettes, avec des prix qui ne vous font pas mal au portefeuille. Prenez le menu du midi, par exemple, à 14,50 euros. C’est bien simple, c’est bon et ça reste abordable.
Quand la Bretagne se met à table
Et pour que ça ait vraiment le goût de là-bas, Alexandre a fait le choix du bon produit. Les ingrédients viennent directement de Bretagne. Vous aurez droit aux fameux oignons de Roscoff, à l’andouille de Guémené-sur-Scorff, et même à la saucisse de Molène, qui a ce petit goût fumé si particulier grâce aux algues. Et si vous êtes du genre créatif, vous pouvez même composer votre propre galette ou crêpe. Une touche personnelle qui fait toujours plaisir, non ?
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Bien plus qu’une adresse, un héritage
Ce restaurant, c’est aussi un hommage. Alexandre Colonel ne fait pas que tenir un commerce, il raconte une partie de son histoire. La crêperie, c’est sa façon de se reconnecter à ses racines familiales bretonnes. Et là, il y a une anecdote assez forte. En 1943, des membres de sa famille, dont son arrière-grand-père Ernest Sibiril, ont joué un rôle dans l’aide à l’évasion de résistants vers l’Angleterre. Un beau geste, et devinez quoi ? Une des galettes s’appelle justement « La Sibiril », avec du bacon et un clin d’œil à l’Angleterre. C’est ce genre de détails qui donnent une âme à un lieu, vous ne trouvez pas ?
Ce lien entre l’histoire familiale et le restaurant en Seine-et-Marne, ça crée une ambiance vraiment spéciale. Chaque plat a une petite histoire à raconter. Et l’équipe, parlons-en ! Il y a Oléna, par exemple, qui est arrivée d’Ukraine. Elle a une belle expérience, et elle est super contente. « Le patron est super ! » dit-elle. Ça montre bien que l’ambiance, elle est là, et c’est contagieux.
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Une équipe qui a du cœur
Dans la salle, il y a aussi Julie et Sylvie. Elles forment une belle équipe avec Alexandre. Quand tout le monde s’entend bien et aime ce qu’il fait, ça se ressent dans le service. On sent une vraie solidarité, une passion partagée. C’est ça, aussi, la recette d’un héritage familial qui fonctionne.
Des attentions pour tous
Et parce qu’Alexandre pense à tout le monde, il y a une rampe qui peut être installée si besoin, pour que les personnes à mobilité réduite soient les bienvenues. Il y a aussi des réductions sur les commandes à emporter, histoire d’encourager le consommer local. Le restaurant est ouvert du mardi au samedi, et le vendredi et samedi, ils poussent un peu plus loin pour le goûter. C’est bien d’avoir cette flexibilité, quand on a une vie bien remplie.
Ce projet, il montre bien comment un héritage peut redynamiser un coin. En s’appuyant sur le passé, tout en regardant vers l’avenir et en s’adaptant à ce que les gens veulent aujourd’hui, Alexandre Colonel ne crée pas juste un restaurant. Il crée un lieu de partage, un lieu de mémoire, en plein cœur de la Seine-et-Marne. Et ça, c’est quelque chose qui mérite le détour.
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